Femme dominatrice à Lyon cherche esclave fétichiste pour adoration extrême de ses pieds sales et puants

11 heures ago 4

Je suis une femme de 36 ans, à Lyon. Dominatrice. Naturelle. Crue. Et ce que je cherche est très précis : un homme fétichiste des pieds, totalement obsédé par l’odeur, la crasse, la chaleur, l’humiliation, la soumission. Pas un fétichiste propre sur lui qui veut me faire des compliments avant de quémander une photo. Non. Un esclave. Un vrai. Un qui bande dès qu’il voit une trace de sueur séchée sur une plante sale. Un qui rêve de mettre sa langue dans mes plis sales sans même lever les yeux.

Si tu te reconnais dans cette soif de saleté, d’humiliation et d’odeur brute… alors continue de lire. Voici ce que je t’impose.

Tu viendras chez moi à Lyon. Discret. À l’heure. Silencieux. Et dès que j’ouvre la porte, tu rentres à quatre pattes. Je te laisse même pas me regarder dans les yeux. Tu avances à genoux. Ta bouche est ton outil. Ton nez aussi. Mais ton regard ? Il reste baissé. Tu es une chose. Une langue avec une queue qui bande. Et moi, je suis ta déesse. Une reine cruelle, crasseuse, impitoyable.

Je t’emmène dans le salon. Tu ne parles pas. Tu attends. Je me pose sur le canapé, croise les jambes, et retire mes baskets. Sans chaussettes. Pieds nus. Pieds moites. Pieds marqués. Toute une journée enfermés. Talons luisants, orteils brillants de sueur, plis sombres sous les orteils. Et une odeur. Tu ne peux pas l’ignorer. Elle monte à ton cerveau. Elle te frappe, elle t’écrase. Et tu bandes. Fort. Sale. Minable.

Je tends un pied vers toi. Tu ouvres la bouche. Tu veux l’embrasser ? Non. Je le pose sur ta joue. Et je te frotte. Lentement. Comme un chien. Ma plante sale contre ta peau. Tu sens le sel ? Tu sens la crasse ? Tu sens l’humiliation ? Je souris. Tu vas craquer vite. Mais je veux te faire durer.

Je lève l’autre pied et l’approche de ton nez. Là, tu peux respirer. Profondément. Pas juste une bouffée. Non. Une vraie inspiration animale. Je veux entendre ton nez trembler, tes narines battre. Tu vas te noyer dans mon odeur. Je le plaque sur ta face. Tu suffoques. Et tu gémis. Tu bouges ? Mauvais chien. Je te gifle du pied. Et tu reviens. La langue sortie.

Et c’est là que ça commence.

Tu lèches. Tu bois ma crasse. Tu goûtes la journée. Chaque goutte de sueur, chaque marque sombre, tu les prends sur la langue. Je veux voir ta salive couler. Je veux que ma plante soit trempée de ton envie. Je t’écrase la bouche, je frotte mes orteils contre tes dents. Tu gémis, tu trembles, tu bandes comme un porc. Et moi, je rigole. Parce que je sais que tu n’as jamais rien voulu d’autre.

Je t’impose un rythme. D’abord les talons. Tu les lèches lentement. Tu les nettoies. Pas comme un esclave propret. Non. Tu dois les salir de ta honte. Puis je te fais remonter. La voûte plantaire. Les plis. Les orteils. Je les écarte devant toi. Tu plonges ta langue dedans. Tu explores. Tu cherches les coins les plus sombres. Les plus humides. Là où l’odeur est la plus concentrée. Et tu fonds.

Et moi je te regarde. Je te parle. Je t’humilie. Je te dis ce que tu es : un loque. Un petit chien à foutre. Un ramasseur de crasse. Un avaleur de sel. Un lèche-merde. Et tu aimes ça. Tu vis pour ça. Ton sperme coule déjà dans ton caleçon. Tu bandes à te faire mal.

Et je continue. Je te donne l’autre pied. Tu recommences. Plus vite. Plus sale. Et je veux que tu craches dessus. Que tu dégoulines. Que ta salive s’étale comme un baume d’esclave. Je t’insulte. Je te crache à la gueule. Je t’appelle mon torchon vivant.

Puis je m’allonge. Je te fais ramper jusqu’à mes pieds. Tu les lèches encore. Tu ne t’arrêtes jamais. Et quand je sens que tu vas exploser, je te pose les deux plantes en plein visage. Je t’étouffe de pied. Je t’écrase. Et je te dis : « Tu peux jouir maintenant. »

Et là… tu craches. Tu décharges comme une bête. Sans toucher. Sans rien. Juste l’odeur. Juste l’humiliation. Juste moi. Et ton sperme coule sur le sol. Sur toi. Et tu restes là, bouche ouverte, en train de lécher encore. D’adorer. Même vidé. Surtout vidé.

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